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Exposition temporaire : De l'autre côté du rêve. Collections de la Fondation des Treilles

Pour leur première sortie de découverte des arts, les Game 1 ont été gâtés : du surréalisme plein les mirettes.

Il y a plus doux comme baptême. Et nos sept étudiants risquent de s’en souvenir, tant cette exposition De l’autre côté du rêve leur a plus laissé un arrière-goût de cauchemar.

« La promesse étant une invitation au rêve, le résultat n’est, pour moi, pas ressenti. »

« Nous n’avons vu que des œuvres dont le sens était nébuleux voire cryptique. »

« J'ai vu des peintures plus ou moins abstraites avec des messages plus ou moins abstraits. »

Et puis, fendant cet épais brouillard...

« Cette visite a été enrichissante et a permis de voir plein de styles artistiques dans plein de domaines différents. L’adaptation de l’art et ses différentes interprétations selon l’artiste sont fascinantes. Que ce soit en peinture ou en sculpture, nous avons vu des œuvres avec un style très marqué et représentant les émotions éprouvées ou à même d’être provoquées par l’œuvre. Mais aussi des objets du quotidien, prévus pour s’asseoir, représentant des moutons disposés de façon à voir ceux qui dirigent le troupeau et ceux qui suivent. »

Des œuvres faites avec des pièces de différents objets et donnant une autre dimension à l’environnement les entourant.

Des tableaux explorant des techniques et textures qui visent à imiter la réalité : ici de l’écorce, là du sol et là encore de la terre...

« J’ai trouvé les recherches et les inspirations de certains artistes poussées. Il est évident qu’ils vivent leur art jusque dans leurs derniers retranchements. C’est radical. Parfois, quand même, assez extrême. J’ai apprécié la démarche et l’envie de donner, de partager quelque chose de différent, qui vise aussi à nous donner une ouverture sur ce que peut être l’art. Même si, a priori, je n’aime pas vraiment le style adopté par ces œuvres : je ne suis pas toujours convaincu d’y voir de l’art. Là où les œuvres de Léonard de Vinci, Michel Ange, Botticelli, ou encore de Géricault ne me laissent aucun doute. Mais c’est une autre histoire. »

Gaëtan Duhazard, G1

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