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Être monteur vidéo, c’est faire du TikTok toute la journée

Le métier de monteur vidéo enseigné à Studio M Nice fait rêver, intrigue, parfois fait rire… et souvent, il est incompris. Entre les préjugés et la réalité du terrain, il y a un monde. Voici un petit tour des idées reçues les plus tenaces sur ce métier. 

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Être monteur vidéo, c’est un métier d’homme 

Parce que manipuler des logiciels complexes et passer des heures en post-prod, c’est forcément viril ? Faux. Comme dans beaucoup de secteurs créatifs, les femmes ont toute leur place dans le montage vidéo. Sens du rythme, sensibilité artistique, rigueur technique… aucune de ces qualités n’a de genre. Si ce cliché persiste, c’est surtout le reflet d’une industrie qui évolue encore. Et heureusement, les écoles comme Studio M Nice encouragent une vraie diversité. 

 

Être monteur vidéo, c’est ne faire que geeker toute la journée 

Oui, on passe beaucoup de temps devant un écran. Oui, on utilise des logiciels puissants comme Premiere Pro, DaVinci Resolve ou After Effects. Mais non, on ne fait pas que "geeker". Le monteur vidéo à Studio M Nice, c’est un narrateur. Chaque coupe, chaque transition, chaque choix visuel sert une histoire. Il faut comprendre le message, traduire une intention, ressentir un rythme. Geek ? Peut-être. Créateur ? Sûrement. 

 

Être monteur vidéo, c’est mettre des effets spéciaux à la Star Wars de partout 

Si tu penses que le montage vidéo c’est uniquement balancer des explosions, des sabres lasers et des transitions qui tournent dans tous les sens, tu confonds avec un tuto YouTube de 2010. Les effets spéciaux (ou VFX) sont une spécialité à part, souvent confiée à des professionnels dédiés. Le rôle du monteur, c’est avant tout la fluidité, la cohérence et l’émotion. Moins de pew pew, plus de storytelling. 

 

Être monteur vidéo, c’est faire du TikTok toute la journée 

TikTok est un formidable terrain de jeu créatif, c’est vrai. Et certains monteurs y trouvent une vraie liberté d’expression. Mais réduire le métier de monteur vidéo à des vidéos de 15 secondes sur fond de musique virale, c’est ignorer l’étendue des domaines où il intervient : cinéma, pub, documentaire, clip, événementiel, corporate… Le format peut varier, mais l’exigence reste la même : capter l’attention, transmettre un message, toucher un public. 

 

Être monteur vidéo, c’est délaisser le son 

Grave erreur. Le son, c’est 50 % du ressenti d’une vidéo. Et le monteur le sait bien. Couper un plan au bon moment, ajuster une musique, caler un effet sonore, équilibrer des voix… C’est aussi son job. Le monteur vidéo à Studio M Nice collabore souvent avec des ingénieurs du son, mais il reste responsable de la bonne harmonie audio/visuelle. Et sans bon son, pas de bonne vidéo. 

 

Être monteur vidéo, c’est pouvoir tout régler en post-production 

"On s’en fout du tournage, on réglera ça en post-prod !" : le cauchemar de tout monteur. Non, le montage ne peut pas sauver tous les oublis de tournage, ni transformer un plan mal cadré en chef-d’œuvre. C’est un métier de rigueur, mais ce n’est pas de la magie. Un bon monteur peut sublimer un projet bien préparé, pas ressusciter un tournage bâclé. L’anticipation, c’est la clé. 

 

Le monteur vidéo est bien plus qu’un technicien. Il est au cœur de la création audiovisuelle. Il sculpte le temps, donne un rythme, une émotion, une direction. Alors non, ce n’est pas juste "faire du TikTok toute la journée", c’est donner vie aux images, quelles qu’elles soient. 

Et toi, tu veux devenir monteur vidéo à Nice ?

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