La nouvelle publicité d’Intermarché ne se contente pas de faire parler d’elle, elle remet en lumière une réalité souvent oubliée : la création ne se résume pas à un outil. À l’heure où l’intelligence artificielle envahit les images, ce film rappelle la valeur du regard humain et du travail artistique. Une démonstration concrète de ce que défend une formation comme le bachelor animation 3D, où la technique soutient avant tout l’émotion.
Une publicité qui assume le temps long et la création humaine
Dès les premières images, le film d’Intermarché impose une identité visuelle forte. L’animation est fluide, les personnages expressifs, les décors riches et cohérents. Rien ne semble généré à la va-vite. Chaque plan respire le travail d’artistes formés à l’animation 3D, à la narration visuelle et à la direction artistique.
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Le projet a été porté par l’agence Romance, en collaboration avec Illogic Studios. Plus de six mois de production, entre 60 et 70 professionnels mobilisés.
Ce chiffre parle de lui-même. Derrière quelques minutes d’animation, il y a une équipe complète : animateurs 3D, graphistes, spécialistes du rendu, artistes numériques. C’est exactement cette réalité du terrain que transmet une école d’animation 3D tournée vers les métiers de l’image.
Le public ne s’y est pas trompé. Avec plus de 600 millions de vues cumulées, la campagne a dépassé le simple cadre publicitaire pour devenir un symbole du savoir-faire français en animation.
L’IA comme outil, jamais comme raccourci
Illogic Studios l’a clairement expliqué : l’intelligence artificielle a été utilisée de manière ponctuelle, uniquement pour accompagner certaines étapes techniques. Elle n’a jamais pris le contrôle du processus créatif. La direction artistique, les choix visuels et la narration sont restés entre les mains des artistes.
Cette approche reflète parfaitement la réalité actuelle des métiers de l’animation et de la 3D. Dans un bachelor animation 3D, l’IA s’intègre dans un pipeline de production aux côtés des logiciels de modélisation, d’animation ou de compositing. Elle soutient le travail, mais ne remplace ni la sensibilité artistique ni la culture visuelle.
Le public rejette les images sans âme
En parallèle, l’actualité de McDonald’s a marqué les esprits. La marque a retiré une publicité de Noël générée entièrement par IA après une réception très négative. Le rendu a été jugé froid, impersonnel, sans émotion. Le public a immédiatement perçu le manque de direction artistique.
Cette réaction collective montre que les spectateurs ne sont pas dupes. Ils attendent de la narration, une identité graphique, une intention claire. Pour les futurs professionnels de l’animation 3D, le message est évident : la facilité se voit toujours à l’écran.
Une dynamique française qui s’affirme
Le succès d’Intermarché s’inscrit dans une tendance plus large. L’animation et la création numérique françaises rayonnent à l’international. Le jeu Clair Obscur : Expedition 33, sacré jeu de l’année aux Game Awards 2025 à Los Angeles avec neuf trophées, en est un exemple fort.
Publicité, jeu vidéo, cinéma d’animation : les points communs sont nombreux. Une vision artistique assumée, une maîtrise technique solide et un travail collectif exigeant. Des compétences développées au sein d’une formation comme le bachelor animation 3D, pensée pour répondre aux attentes réelles du secteur.
Studio M, une école d’animation tournée vers le réel
Le bachelor animation 3D proposé par Studio M prépare aux métiers de l’animation, de la 3D et de l’image numérique. Tu y développes des compétences en animation de personnages, création de décors, storytelling visuel et production 3D, tout en comprenant les enjeux actuels liés aux nouvelles technologies.
Choisir cette formation, c’est intégrer une école d’animation 3D en phase avec son époque. Une école qui forme des créateurs capables d’utiliser les outils modernes sans perdre ce qui fait la différence : le regard humain et la capacité à créer de l’émotion.